Retour à la normalité



" La politique commence à devenir de plus en plus stable. Les entreprises engagèrent de plus en plus, toujours en quête de main-d’œuvre. Cependant les privations commencèrent à se sentir. Bien que grâce à l’appel de Viviani les récoltes de 1914 les récoltes furent bonnes, on trouve de plus en plus de produits de substitution. Le café est devenu de la chicoré, le beurre de la margarine… Tous les magasins voient une longue file d’attente à leur entrée. À Paris tout est devenu plus cher ! Une augmentation de 20 % sur la plupart des produits… La farine et le blé sont même rationnés et il est impossible de trouver une goutte d’essence. Il y a des marchés noirs qui se forment un peu partout, on ne reconnaît plus la ville. L’État fait aussi des économies avec l’éclairage, les cafés et théâtres, à peine rouvert, doivent fermer tôt pour ne pas trop consommer d’énergie… Même le charbon de cuisine est aussi rationné !"