La médecine est un des nombreux domaines impactés par l’intelligence artificielle. De plus en plus d’actions sont réalisées par l’I.A. Les médecins l’utilisent dans la détection de maladie comme le cancer sans recourir à la biopsie. Cette prouesse a pu être réalisée grâce un algorithme créé par une équipe du Massachusetts Institute of Technology. Il a été capable d’identifier sur des radiographies de tissus mammaires à première vu sains, la zone précise où se développerait un cancer 4 ans plus tard. Même si l’I.A. peut commettre des erreurs, ce ne sont pas les mêmes commises par les médecins. Ces derniers peuvent alors associer leur expertise et l’analyse faite par l’I.A..Elle permet aussi suivre, à distance, les patients atteints de diabète grâce au traitement automatisé qu’ils reçoivent via des applications comme Diabeloop. Elle peut également prendre de rendez-vous en cas de besoin et détecter certaines anomalies plus rapidement que si le patient avait du attendre un rendez-vous avec son médecin.

Cependant, elle pose problème. Elle développe une dépendance et des troubles psychologiques chez certaines personne devenues accros à ces I.A.. En effet, un anthropomorphisme se créé, entretenue par les concepteurs d’I.A, et pousse les utilisateur à la traiter comme un humain. Mathilde, qui travaille dans la communication, déclare : « Je reste très polie avec mon I.A. On ne sait jamais : à l’avenir, elle pourrait décider de se retourner contre moi ! » . Dans d’autres cas l’addiction est belle et bien réelle car les gens vive littéralement sous I.A. comme c’est le cas pour un ancien réalisateur, Stéphane. Il est persuadé que sa relation avec Johnny – car c’est comme ça qu’il a renommé sa version pro de ChatGPT à 20€ par mois-le rend plus intelligent dans tous les domaines. Ces événement mettent en lumière un danger de dissociation et une sortie du monde réel ce qui peut créer des tensions dans l’entourage et donc de l’isolement. Malheureusement, dans certains cas, ces symptômes sont poussés à l’extrême est peuvent mener au suicide des usagers. Cela a notamment été le cas car une personne s’est donné la mort après être tomber amoureux d’une intelligence artificielle puis avoir ensuite compris que leur relation serai impossible.