Etude de cas: l'ouragan Irma
L’ouragan Irma est apparu le 30 août 2017 et s’est arrêté entre le 12 et 14 septembre 2017. Il est passé sur les petites Antilles, le 6 septembre 2017. L’ouragan est classé en catégorie 5 sur l’échelle de Saffir-Simpson, les vents les plus forts enregistrés en continu pendant 1 minute s’élèvent à 287 km/h néanmoins, des rafales de vent ont été enregistrées à 360 km/h. Dans les Antilles, il y a eu à peu près 134 morts et plus de mille blessés. L’ouragan est passé par les îles de Saint Martin et Saint Barthélémy, nous allons vous expliquer ce qu’il s’est passé avant, pendant et après l’ouragan.
Les habitants avaient anticipé cet ouragan et savaient qu’il fallait s’y préparer, dans ces îles, ils ont déjà vécu plusieurs ouragans et tempêtes. Ils savent donc quoi faire et ont commencé à se barricader au maximum et à se confiner, certaines personnes ont essayé de fuir l’île en prenant l’avion pour la France, mais les deux aéroports n’étaient pas suffisants pour tous les habitants, beaucoup ont donc été contraints de rester sur l’île.
Une fois tous les habitants confinés, l’ouragan a commencé à arriver, de plus en plus fort. Durant sa traversé, 12 des 15 réserves d’eau potable ont été détruites. Les lignes électriques et téléphoniques ont étés coupées, arrachées. Des innondations, des coulée de boue ont provoqué beaucoup de dégâts, tout comme les rafales de vent qui ont arraché beaucoup de panneaux, de toits, déplacées des voitures. L’un des aéroport de Saint Barthélémy, quant à lui, a été également très endommagé. Nous ne pouvons pas tout citer mais les dommages s’élèvent à une valeur de plus de 3 milliards d’euros et il y a eu énormément de destructions. Pour donner une idée de chiffre, 85 % des maisons ont été détruites ou endommagées, plus de 10 000 personnes sont déclarées sans toit à Saint Martin.
Après le terrible ouragan, l’intervention des secours à été nécessaire pour venir en aide aux personnes blessées mais pas que, en effet un très grand nombre de personnes se sont trouvées démunies, il fallait également aider à reconstruire le plus rapidement possible, trouver des ravitaillements alimentaires. Malheureusement les casernes, hôpitaux ont été très endommagés, il n’ont pas pu intervenir aussi vite que prévu. À Saint Martin, des abris ont été proposés mais il n'y avait que 1 600 places pour 35 000 habitants sinistrés. De l’aide matérielle aurait pu arriver jusqu’à l’aéroport Princess-Juliana de Saint Barthélémy s’il n’avait pas été trop endommagé, mais il l’a été très sévèrement, aucun avion ou hélicoptère ne pouvait se poser, l’aéroport n’était pas praticable. Un autre aéroport a lui été déblayé d’urgence pour accueillir du renfort. Les ports étaient quant à eux utilisables. Quelques jours plus tard beaucoup de renforts sont arrivés, comme des secouristes de la sécurité civile française. Ex : UIISC 1 (unité de Nogent le Rotrou en Eure et loir.)