La notion de « climat » renvoie à l’ensemble des éléments qui caractérisent l’état moyen de
l’atmosphère. Elle se définit à partir de statistiques sur une longue période (au moins
trente
ans) alors que la notion de « temps qu’il fait » renvoie aux conditions météorologiques d’un
instant donné ou d’une courte période (une journée, une semaine, etc.), d’après le site
reseauactionclimat.org.
La situation climatique actuelle est critique. En effet, les récentes technologies ont causées
l’accélération de l’émission des gaz à effet de serres. Cette augmentation a eu pour conséquence
des dérèglements climatiques comme une forte montées des eaux, des séismes et des tremblements
de terres plus nombreux ainsi qu’une augmentation de la température à la surface de la Terre.
La notion de changement
climatique est reconnue depuis plus de 30 ans. En 1990, la gravité et l’urgence climatique ont
été confirmées. Cela a débouché sur la convention de Rio de 1992 durant laquelle 154 pays se
sont mis d’accord. En effet, ils vont devoir agir en fonction de leurs responsabilités et de
leurs capacités pour limiter la concentration des gaz à effet de serres dans l’atmosphère. En
2004, ces 154 pays ont été rejoint par 35 autres pays. A partir de ce moment, une conférence, la
COP ( COnférence des Parties ), est organisée tous les ans. Elle permet de voir les évolutions
et ce que les pays peuvent encore faire pour améliorer la situation.
Les autres conférences importantes, mais moins fréquentes, sont appelées les sommets de la
Terre. Elles ont lieu tous les dix ans. Ces sommets présentent un enjeux important dans la
capacité à gérer des problèmes planétaires liées à l’écologie.
La première conférence a lieu en 1972 à Stockholm en Suède et a par ailleurs contribué à la
création du Programme des Nation Unies pour l’Environnement (PNUE). Quand au second sommet de
1982 à Nairobi au Kenya, il est a l’origine de la création de la Convention-Cadre des Nations
Unies sur les Changements Climatiques dont les pays se rencontrent annuellement depuis 1995.
Malgré les efforts, la
situation ne s’améliore pas. En effet, selon l’observatoire de Mauna Loa, le taux de dioxyde de
carbone a été multiplié par trois en soixante-neuf ans. De plus, nous pouvons constater qu’en
Antarctique, la fonte des glaces entre 2009 et 2017 a augmenté de 280 %. Cela est due à une
augmentation des gaz a effet de serres avec 36,8 milliards de tonnes produit en 2017 ce qui
correspond a environ 5 tonne par habitants et par an. Ces gaz sont a l’origine de la hausse de
la température. Effectivement, celle-ci a augmenté de 4°C depuis 1990 et à engendré une hausse
de 4 mètres du niveau de la mer. De plus, outre, l’augmentation des catastrophes naturelles,
celles-ci sont également de plus en plus violentes. Le séisme de 1960 à Valdivia, au Chili est
un séisme qui a lieu le 22 mai 1960. Sa magnitude, la plus élevée jamais enregistrée, a été
estimée à 9,5 sur l’échelle de magnitude du moment. Les ressentis à cette magnitude sont
dévastateurs, au total, le tremblement de terre et le tsunami de ce séisme ont causé environ 3
000 à 6 000 morts. Par ailleurs, deux millions de personnes se sont trouvées sans-abri, dû aux
dégâts matériels importants.