C'est le gouvernement qui charge les grands patrons Français à réorganiser l'énonomie pour être au service de la Guerre. Ces entreprises ne vont pas pour autant sacrifier leur profit pour la guerre. C'est des deux côtés du Rhin que les bénéfices explosent pour certaines grandes entreprises. Certaines de ces entreprises sont aujourd'hui devenus des multinationales. Il existe certains représentants du Comité des forges (la plus puissante organisation patronale françaises) participent à cette mobilisation comme des membres de l’influente famille Wendel, propriétaire des aciéries de Lorraine, et Louis Renault. Les chiffres d'affaires de chaque entreprise se multiplient en quantité importante dû notemment a la création de matériels de guerre ainsi que de l'artilleries.