Voyons comment l'espèce humaine est menée par l'appât du gain mais ne pense pas à l'état de sa société et de sa maison la "planète bleue", (ou planète grise).
Sur terre plus ou moins toutes les ressources manques ou sont mal exploités, cela créer des inégalités et des conflits plus ou moins important allant de querelles sur la taille d’une ZEE ou de l’asséchement d’un cours d’eau ou d’un fleuve par la mise en place en avale de barrage ou de canaux par un autre pays. Mais l’exploitation de ces ressources crée bien plus que des conflits, elle crée de la pollution des terres, des gaz à effets de serres ou détruit des écosystèmes à cause de l’acidification des sols ou de leurs asséchements, en effet, cette liste n’est pas exhaustive.
Notre planète va mal cela va s’en dire. Mais la principale cause de ces tensions est le réchauffement climatiques. Tel est la conséquence du progrès humains. L’Homme crée lui même ses propres tensions par le biais de révolutions industrielles. Ces révolution sont bénéfiques principalement à court termes. Seulement, à long termes, ces évolutions créent désastres aux seins des populations, catastrophes naturelles et désires de richesse.
Le concept de "modèles de sociétés humaines" fait référence à la manière dont les sociétés humaines sont organisées, structurées et fonctionnent à différents niveaux : économique, social, politique, culturel, et environnemental. Ces modèles évoluent au fil du temps, influencés par des facteurs tels que les technologies, les croyances, les structures de pouvoir, ainsi que les ressources disponibles. Dans le contexte de la notion de *planète sous tension*, où les limites des ressources naturelles imposent de nouvelles dynamiques, ces modèles peuvent être repensés et redéfinis.